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Les USA ont déclassifiés les dessins techniques d’un OVNI


Les USA ont déclassifiés les dessins techniques d'un OVNILes archives nationales des États-Unis pour la première fois a publié les dessins techniques classés d’un OVNI, qui a été développé dans les années 1950 pour les Forces aériennes américaines. Le dispositif a été appelé « Project 1794 ».

Selon les documents, datés le 1 juin 1956, un ovni à décollage et atterrissage verticaux devrait développer une vitesse de Mach 3 à Mach 4 ( de 3200 à 4300 km / h). L’altitude limite de vol est plus de 30 km, et la portée – environ 1800 km.

Il était prévu que le développement d’un prototype prendrait d’un an et demi à deux ans. Le budget du projet représentait 3,17 millions de dollars, soit d’environ 26,6 millions de dollars de nos jours. La raison pour laquelle le projet a été terminé n’est pas connue. Vraisemblablement, les résultats modestes des travaux n’ont pas répondu aux attentes trop élevées.

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« Quelque chose de très grave se prépare à l’échelle mondiale »


Le nouveau communiqué des Anonymous décrit les prémices d’une débâcle financière globale…

Depuis quelques jours, une série de vidéos et d’articles de la blogosphère mondiale terrorise la Toile. Lancé le 19 septembre dernier, le nouveau communiqué officiel des Anonymous, traduit en quantité de langues, et déjà vu par près de 3 millions de personnes, donne des sueurs froides. Il est intitulé : « Quelque chose de très grave se prépare ». Tout un programme.

On sourira évidemment, en voyant ce nouveau scénario d’une fin du monde. Causé non pas par un alignement des planètes ou par un déséquilibre tellurique (comme dans le film 2012), mais par une panique financière mondiale consécutive à l’éclatement du dollar américain.

Néanmoins, ce scénario est moins fantaisiste que ceux qu’on nous sert d’habitude. Et certains journaux économiques américains ne rejettent pas l’idée de la possibilité d’un effondrement du dollar US.

L’effondrement d’une monnaie, c’est quand sa valeur baisse si rapidement que ceux qui en détiennent la revendent à n’importe quel prix. Plusieurs conditions sont nécessaires. Tout d’abord, il doit y avoir une faiblesse économique profonde. Deuxièmement, il doit y avoir une monnaie de rechange viable pour que d’éventuels investisseurs paniqués convertissent leur monnaie. Et naturellement, un évènement déclencheur.

La première condition est en partie réalisée. Le dollar a baissé de 54,7% face à l’euro entre 2002 et 2012. Pourquoi ? La dette américaine a presque triplé au cours de cette période, passant de 5 900 milliards de dollars à 16 000 milliards de dollars.

Depuis que le président Nixon a abandonné l’étalon-or dans les années 1970, le dollar est utilisé dans 43% des transactions mondiales. La seule monnaie, qui pourrait constituer une alternative, demeure l’euro (30% des réserves monétaires mondiales). Mais la crise de la dette en zone euro rend l’idée hasardeuse.

Au total, les pays étrangers détiennent 5 000 milliards de dollars US. Si la Chine (1 000 milliards de dollars d’avoirs) ou le Japon (800 milliards) cherchaient à revendre ces avoirs en bons du Trésor sur le marché secondaire, les conséquences seraient fatales.

Une piste qu’aborde un film de fiction, publié au début de l’année, qui a fait florès sur la Toile.

Évidemment, ce scénario n’est pas envisageable  : les économies du Japon et la Chine ont un besoin vital de la consommation américaine. S’ils vendaient leurs dollars, leurs produits d’exportation coûteraient trop cher aux États-Unis, et leurs économies en pâtiraient.

Néanmoins, certains analystes financiers, comme Olivier Delamarche, considèrent qu’un effondrement de la monnaie US n’est pas du domaine de la science-fiction. Le 18 septembre, sur BFM TV, il a d’ailleurs déclaré : « Ben Bernanke (le président de la Réserve fédérale américaine) vient de signer l’arrêt de mort de l’économie américaine« .

Par ailleurs, il y a dix jours, l’information du ralentissement suspect du site de la banque américaine Chase (filiale de JP Morgan Chase) et des menaces de hackers islamistes publiées sur Pastebin et reprises par l’AFP,  a donné du grain à moudre aux théoriciens du complot qui se sont emparés d’un article publié deux mois plus tôt. Celui-ci expliquait qu’une  »cyber-attaque sur les institutions bancaires occidentales (aurait lieu bientôt) dans le but de rejeter le blâme sur l’Iran. »

Une thèse qui fait son apparition il y a quelques jours sur la Toile…


Bref, la Toile joue à se faire peur, et de nouvelles vidéos tout aussi anxiogènes sont à prévoir dans les semaines qui viennent… dont cette dernière du Project Mayhem 2012.

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Vaccins et manipulations génétiques : Vers l’animalisation de l’homme


Le vaccin de Jenner contre la variole a permis de franchir pour la première fois la barrière d’espèce en introduisant directement dans le corps un élément d’une autre espèce, c’est-à-dire des gènes provenant d’un animal et qui plus est, d’un animal malade. Dès cet instant, l’homme a bouleversé l’écosystème en facilitant le passage de micro-organismes d’une espèce à une autre. La barrière d’espèce étant franchie, commença alors l’animalisation de l’homme ou, comme l’explique Pierre Darmon dans son ouvrage La Longue traque de la variole, la « minotaurisation de l’espèce humaine ». Cet aspect de la vaccination n’est jamais pris en considération par les scientifiques alors qu’il initie tout un ensemble de phénomènes contre-natures, dont nous ne mesurerons les conséquences que dans plusieurs dizaines voire quelques centaines d’années si nous persistons dans cette voie.

On retrouvera plus tard cette animalisation avec le vaccin BCG préparé à partir d’une souche atténuée de bacille tuberculeux bovin. À ce sujet, dans son remarquable ouvrage La Médecine retrouvée, le Dr Jean Elmiger signale avec humour (noir) que les végétariens prétendent depuis toujours que l’ingestion de la chair des animaux introduit petit à petit chez l’homme la bestialité de l’animal abattu, mais que le vaccin est directement injecté à travers la peau, échappant à son contrôle : « Les compères Calmette et Guérin n’ont pas pris l’animal au hasard. Ils ont choisi la vache. Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental de la grande famille des Français. »

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La face cachée du pétrole


Dès ses débuts, l’industrie pétrolière est marquée par la rivalité entre l’Américain Rockefeller et les frères Nobel, installés à Bakou, en mer Caspienne. La Première Guerre mondiale est gagnée en grande partie grâce au pétrole acheminé auprès des forces alliées par la Standard Oil of New Jersey, appartenant à John D. Rockefeller.

Des livraisons suspendues en 1916, lorsque le magnat américain apprend le partage du Moyen-Orient (dont il convoite le sous-sol) entre Britanniques et Français. Dès 1928, dix-sept ans avant Yalta, les dirigeants des compagnies pétrolières se partagent le monde au terme d’un accord dont les termes resteront cachés jusqu’en 1952… La seconde partie du documentaire dissèque les tractations secrètes qui ont eu lieu au Proche-Orient entre les États-Unis, la CIA et les grandes monarchies du Golfe.

Des témoins directs expliquent notamment comment le choc pétrolier de 1973 ne fut qu’une gigantesque manipulation orchestrée par les compagnies pétrolières américaines qui souhaitaient, en favorisant la hausse des prix du baril, dégager d’importants bénéfices pour favoriser leurs investissements en mer du Nord et en Alaska.

Ce documentaire adapté du livre du même nom d’Éric Laurent, montre en deux fois une heure que “l’or noir” aura été le moteur de l’histoire du XXè siècle et de ce début de XXIè siècle. Il explique également comment l’administration Reagan a utilisé l’arme du pétrole saoudien pour faire chuter les cours mondiaux et provoquer l’effondrement de l’Union soviétique…

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(VIDEO) Super size me


Le fast-food est partout. 37 % des enfants et des adolescents américains ont un problème de poids. Deux adultes sur trois sont atteints de surcharge pondérale ou d’obésité. Comment l’Amérique est-elle devenue aussi grosse ?

Pour mener son enquête, Morgan Spurlock a traversé les États-Unis et interrogé des spécialistes dans plus de vingt villes. Un ancien ministre de la santé, des profs de gym, des cuisiniers de cantines scolaires, des publicitaires, des avocats et des législateurs lui confient le résultat de leurs recherches, leurs sentiments, leurs craintes et leurs doutes.Mais le fil rouge de ce documentaire est une expérience que Morgan Spurlock décide de mener sur lui-même. Sous la surveillance attentive de trois médecins, le voilà donc au régime MacMuffin, Big Mac, Royal Cheese, frites et coca.

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